dimanche 9 août 2009

Aujourd'hui j'ai lu, ca m'a donné envie d'écrire, alors j'écris.
Je m'allume une clope. J'entame une barre chocolaté et j'dégueule. J'dégueule quelque chose qu'on appellerai la peur. Une de plus ou une de moins. Proprement dit MA peur sentimentale. Pas la sienne. Quoique peut-être bien qu'elle est deux fois, trois fois, dix fois pire que la mienne... Manque de communication ? Une solution ? Un mode d'emploi pour débauches affectifs ? Drogue ? A défaut d'être une toxico, se piller le crâne le coeur et l'âme. Je prône l'amour, j'idéalise la chair humaine qui se trouve devant l'alter égo que je suis, et me demande combien de fois aura t-il baisé de nanas avant moi. C'est tout ce que j'ai trouvé pour passer sous silence mes pensées abjects. Aimé et être aimé. Mal aimé, mais être aimé quand même. A l'instant même, sa m'dispense de conjecturer à n'importe qui et à n'importe quoi. N'importe qui ? Sauf lui. Le seul lui, mon seul leurre. L'attirance sentimentale et sexuelle de deux êtres approximativement conçue n'est que désir passager et c'est ce que je surnommerai, le déchirement de mon organe musculaire creux d'y il y a un peu plus d'un mois, mon coeur... en terme de langage plus courant. C'est la seule bricole de merde qui peut me tenir debout sur mes piquets. Et si il y a une chose que tu peux pas te cacher, c'est que l'amour éternel n'éxiste pas ou d'autres conneries du genre similaire à la croyance du père noël. Ca fait mal d'entendre dire qu'il n'existe pas, n'est ce pas ? Cet amour uniforme, sans début ni fin, cet intemporel sentiment nourrissant. Je crains le temps et tes mots, je crains de ne pas avoir les minutes, les heures, les mois, les années pour t'aimer inlassablement

samedi 1 août 2009

lundi 13 juillet 2009

mercredi 17 juin 2009

J'avais juré, de détruire quiconque qui tenterait de lui faire du mal.
Ce point. Le réconfort était bon au moins ? Sidération sentimentale, je sais... ravale ! C'est possible, qu'avec le temps, cette fable me fasse encore plus de mal. C'était réellement provisoire, non-voyante pour un sou, à trop vouloir boire de ces mots doux, on en finit soule.

mardi 16 juin 2009

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vendredi 12 juin 2009


Il y a des choses que l'amour nous prends et ne nous rends pas. Tu sais toi même, qu'on en perds la force d'aimer, à éprouver des sentiments à outrance. Je reste sur mes gardes, car la route de ton bonheur trace la mienne. Tu veux un couple en couleur ? Des belles paroles qui viennent du coeur ? Pas de celles qui prennent le vent et puis doucement qui s'envolent, je sais ! A bout de souffle ? Tu cherches à te sustenter des moindres gestes et paroles qui l'habitent, tu trembles quand il a froid, c'est bien connu, son monde, c'est le tiens. Rien ni personne ne pourra te repprocher d'avoir goûté à ses lèvres rien que pour un soir, de porter le monde à bout de bras pour l'entendre te raconter son histoire. Sensation, passion. Moi je te regarde et je vois l'horizon. L'océan est préstigieux, noble et mystérieux. Musicalement parlant c'est un raz de marrée, et notre amitié est d'envergure, je te susure à l'oreille que mon amour pour toi est grand et que ma confiance encore plus. Et je finirais pas t'enmener moi-même loin de tous ces démons qui dansent autours de toi, comme des bêtes en cages. Continu à rêver, nébuleuse que tu es, à nous dessiner des anges maléfiques, à travers tes mains de fées.
Je t'aime.

jeudi 11 juin 2009

mercredi 10 juin 2009

Un baiser, j'ai rêvé. Supplice parfait. J'en referme encore les yeux. Je te veux. Dans mon lit, dans mes bras, sous nos draps. Ses draps qui tapissent mon matelas. A l'agonie angélique. Le déclin. J'ouvre les yeux, tu n'es plus là. Tu ne l'as jamais été d'ailleurs. C'est fou l'amour, les détours. J'en pisse d'avoir trop bu de toi. Mon absinthe. Mon divin. Mes regrets d'avoir mal fait, de t'avoir mal aimé. Tu crois ? Et toi ?
Tu m'appels... -Oui et monsieur ? Moi ? Je rêve et fume un pet. De quoi ? Bien sur que j'arrive à faire les deux. Et ta tête ? D'accord, tant mieux alors. Déjà ? Toutes mes salutaions alors. Tu me manques [...] Okay va t'faire voir, j'irais continuer à boire.-
A notre amour, à ma haine. C'est impressionnant comme je t'aime quand même. C'est surprenant d'être aussi cécité*, et comme nos vies, semblent ne tenir qu'au sentiment d'aimer et d'être aimer. C'est provisoire, c'est aléatoire, arrêtons d'y croire.

Cécité : Non-voyant
Dix-sept années d'errance sur ce globe. J'appréhende mon future et ses environs. Mon quartier n'est pas sur, je sais le tiens non plus. Moi de mon côté ma rue en reste calme et mon monde aussi, soit approximativement il est calme. Même si par fois, il a peur, même si par fois il se questionne, et même si il finit toujours par s'emprisonner soi-même, il essaye en outre d'en ressortir un peu plus fort. Il essaye en vain, d'en ressortir une simplette brindille d'espoir dans ce trou noir. Et même si la berge se gomme un peu plus chaques jours, dit moi qu'il est encore là, lui, l'amour !

mardi 9 juin 2009



girltripped

lundi 8 juin 2009



wiersz

À l'aide, j'ai recommencé.
J'en suis déjà arrivé là de nombreuses fois auparavant.
Je me suis à nouveau fait mal aujourd'hui.
Et, le pire dans tout ça, c'est qu'il n'y a personne d'autre à accuser.
Sois mon ami,
Retiens-moi, enveloppe-moi.
Déplie-moi,
Je suis petite,
Je suis dans le besoin,
Réchauffe-moi,
Et respire-moi.
Ouch, je me suis à nouveau perdue,
Me suis perdue et je suis nulle part pour être trouvée.
Ouais je pense que je pourrais me briser.
Me suis perdue à nouveau et je ne me sens pas en sécurité.


BenoitP

J'aimerais véritablement prendre le large. Parce que je pense que c'est avec du recul qu'on grandis et guéris de ses erreurs. Si je pars, je pars le coeur léger, s'il te plaît. Ne me force pas à t'en mener, car je n'aurais pas la sève de te dire toute le dogme qui me hante. J'ai déjà pas eu la force de t'aimer, j'aurais pas la force non plus de te tuer, de te fendre le coeur. Je ne veux pas de brandon ni de chaleur qui brûle le corps. Du tiens comme du mien. "Difficile" tu me diras, "non je t'en prie ne fait pas ça". J'y ai déjà réfléchis plus d'une fois, j'ai déjà essayer de laisser parler mon point, de laisser battre mon âme jusqu'à l'affaissement, jusqu'à la torture, jusqu'à l'explosion de ma boîte crânienne. J'ai dans les poches des crayons, des marqueurs, des feutres qui n'attendent qu'à être utilisé, sans conditions, sans noir et blanc, à redessiner ma nouvelle maison. Je suis comme une poupée de porcelaine, qui aime bien les les vêtements en laine, une pêche qui n'a pas eu le temps de mûrir, mais qui a déjà arrêter de rire. Take place inside my mind, a place like to hide.


Mes très chères ! Ce matin je me suis ouvert le coeur, à coup d'cutter,
par l'entre ouverture de celui-ci, j'ai vu défilé des milliers de je t'aimes.
Rires, sourires, et souvenirs enfouis sous la ventricule gauche, je voyais la parade qui prenait la direction de la sortie. Je gisais au sol, gobant vos visages, aux images sages, le regret de vous quitter venait déjà m'achever. Écorchée, je supplié les remords de se gommer, mais je mettais interme à mon oxygène, à cette air nourrissant que vous m'apportiez. Je mettais interme à vous, à nous, et je balançais vos noms au diable, sans y avoir trop réfléchis, j'étais devenu le fruit de vos larmes. Un acte de folie, pour gâcher votre vie. Même si, ni les étoiles et la terre ne m'éloigne de vous, je porte sur mes lèvres des lettres d'excuse de vous voir quitter trop vite.


Je ne savais pas qu'en un fragment de temps,
En un battement de cil,
Tout pouvez basculer, se déchirer.
Ma tête a nu, sous les décombres du monde,
Des monstres de nuits, ou la nuit elle-même fui,
Parcouru de sanglots, de terres inconnues,
De rues sombres, aux pensées criminelles,
Ma tête c'est mise à tourner à l'envers.
J'ai prier pour qu'elle s'arrête,
Mais en vain, je te jure qu'hier je n'allais pas bien.


Paye ta phrase

" Je pulvérise sur l'artichaut une huile essentiel prolifique à l'aide d'un gros pistolet à frangipane. "




Delice inevitable


Découvrez Cocoon!



Insecte

De mes clichés à ceux des autres. Balayer ma boîte crânienne & en vider un peu plus chaque jour.