dimanche 9 août 2009

Aujourd'hui j'ai lu, ca m'a donné envie d'écrire, alors j'écris.
Je m'allume une clope. J'entame une barre chocolaté et j'dégueule. J'dégueule quelque chose qu'on appellerai la peur. Une de plus ou une de moins. Proprement dit MA peur sentimentale. Pas la sienne. Quoique peut-être bien qu'elle est deux fois, trois fois, dix fois pire que la mienne... Manque de communication ? Une solution ? Un mode d'emploi pour débauches affectifs ? Drogue ? A défaut d'être une toxico, se piller le crâne le coeur et l'âme. Je prône l'amour, j'idéalise la chair humaine qui se trouve devant l'alter égo que je suis, et me demande combien de fois aura t-il baisé de nanas avant moi. C'est tout ce que j'ai trouvé pour passer sous silence mes pensées abjects. Aimé et être aimé. Mal aimé, mais être aimé quand même. A l'instant même, sa m'dispense de conjecturer à n'importe qui et à n'importe quoi. N'importe qui ? Sauf lui. Le seul lui, mon seul leurre. L'attirance sentimentale et sexuelle de deux êtres approximativement conçue n'est que désir passager et c'est ce que je surnommerai, le déchirement de mon organe musculaire creux d'y il y a un peu plus d'un mois, mon coeur... en terme de langage plus courant. C'est la seule bricole de merde qui peut me tenir debout sur mes piquets. Et si il y a une chose que tu peux pas te cacher, c'est que l'amour éternel n'éxiste pas ou d'autres conneries du genre similaire à la croyance du père noël. Ca fait mal d'entendre dire qu'il n'existe pas, n'est ce pas ? Cet amour uniforme, sans début ni fin, cet intemporel sentiment nourrissant. Je crains le temps et tes mots, je crains de ne pas avoir les minutes, les heures, les mois, les années pour t'aimer inlassablement


Paye ta phrase

" Je pulvérise sur l'artichaut une huile essentiel prolifique à l'aide d'un gros pistolet à frangipane. "




Delice inevitable


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Insecte

De mes clichés à ceux des autres. Balayer ma boîte crânienne & en vider un peu plus chaque jour.