lundi 8 juin 2009



Mes très chères ! Ce matin je me suis ouvert le coeur, à coup d'cutter,
par l'entre ouverture de celui-ci, j'ai vu défilé des milliers de je t'aimes.
Rires, sourires, et souvenirs enfouis sous la ventricule gauche, je voyais la parade qui prenait la direction de la sortie. Je gisais au sol, gobant vos visages, aux images sages, le regret de vous quitter venait déjà m'achever. Écorchée, je supplié les remords de se gommer, mais je mettais interme à mon oxygène, à cette air nourrissant que vous m'apportiez. Je mettais interme à vous, à nous, et je balançais vos noms au diable, sans y avoir trop réfléchis, j'étais devenu le fruit de vos larmes. Un acte de folie, pour gâcher votre vie. Même si, ni les étoiles et la terre ne m'éloigne de vous, je porte sur mes lèvres des lettres d'excuse de vous voir quitter trop vite.


Paye ta phrase

" Je pulvérise sur l'artichaut une huile essentiel prolifique à l'aide d'un gros pistolet à frangipane. "




Delice inevitable


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Insecte

De mes clichés à ceux des autres. Balayer ma boîte crânienne & en vider un peu plus chaque jour.